réalité virtuelle dans l’immobilier

Comment la réalité virtuelle va booster votre acquisition vendeurs

20 février 2019

Quand on vous parle de réalité virtuelle, vous pensez tout de suite à un type chaussé d’un casque futuriste qui gesticule en tous sens sans craindre le ridicule. Vous vous dites que le virtuel, c’est bon pour regarder des films et jouer à des jeux vidéos, bref : pour se divertir. Et que c’est bien loin de vos préoccupations professionnelles du quotidien : booster la notoriété de votre business immobilier, attirer l’attention des prospects vendeurs et rentrer des mandats.

Et si l’on vous disait qu’il existe une passerelle entre ces deux mondes ? Que la réalité virtuelle peut vous aider à remplir vos objectifs d’agence/de réseau/de promotion et vous permettre de garnir votre stock de mandats ? Certainement que votre premier réflexe serait de : rire – hausser les épaules – partir en courant (rayez la mention inutile). Et pourtant, c’est une réalité – pas du tout virtuelle, pour le coup.

Au gré de ses évolutions, cette technologie digne de la science-fiction a transformé nombre de domaines d’activité, notamment dans le secteur du commerce. Sans que vous l’ayez vue venir, la conjonction de la réalité virtuelle et de l’immobilier s’est imposée. D’abord aux particuliers, qui se sont intéressés de près aux possibilités offertes par cette technique ; ensuite aux professionnels, qui se sont attachés à comprendre ce qui plaisait tant à leurs prospects. Aujourd’hui, il faut le dire, la virtualité révolutionne la façon dont les agents immobiliers, les agents commerciaux et les promoteurs travaillent avec leurs mandants et clients, essentiellement autour du procédé de visite virtuelle.

À quoi correspond la réalité virtuelle dans l’immobilier ? Que faut-il en attendre ? Et comment cette technologie peut-elle contribuer à booster votre acquisition vendeurs ? Toutes les réponses dans cet article.

Réalité virtuelle dans l’immobilier : de quoi parle-t-on ?

Avant d’évoquer les bienfaits de la réalité virtuelle dans l’immobilier, il faut commencer par comprendre de quoi on parle.

La réalité virtuelle, comme son nom l’indique, est une expérience qui singe la réalité en en produisant une image dématérialisée, qui peut la représenter à l’exact ou en proposer une version alternative. Il ne faut pas la confondre avec une autre notion proche, mais distincte, la réalité augmentée, technologie qui consiste à projeter dans la réalité des éléments issus de la virtualité. Pour bien faire la différence, pensez d’un côté au film de Steven Spielberg, Ready Player One (les personnages mettent un casque VR pour s’immerger dans un univers 100 % virtuel dans lequel ils sont représentés par des avatars), de l’autre au jeu mobile Pokémon Go qui a fait fureur à l’été 2016 (avec lequel les joueurs peuvent visualiser et attraper de petites créatures imaginaires « ajoutées » aux lieux réels, ceux-ci étant filmés via un smartphone).

La réalité virtuelle pour l’immobilier en revient donc à proposer une expérience d’immersion totale dans une réalité entièrement modélisée par ordinateur ou recréée à partir d’environnements existants et numérisés. Cette expérience passe par l’utilisation d’un casque VR.

Loin de l’imagerie de science-fiction qu’on lui applique parfois, la réalité virtuelle est un formidable vecteur d’amélioration de l’expérience client dans le domaine de l’immobilier. Et un vecteur paradoxalement très concret, puisqu’il permet de visualiser des biens (résidentiels ou non) qui existent dans la réalité sans avoir besoin de les visiter physiquement. En posant un casque sur la tête, un prospect acheteur peut explorer librement un logement qui a capté son attention via une banale annonce immobilière, ce logement ayant été numérisé au préalable.

S’il fallait résumer la réalité virtuelle dans l’immobilier, on dirait donc qu’il s’agit d’une technologie permettant d’offrir aux prospects acheteurs la possibilité de visiter des propriétés à distance, avant même de se rendre sur place. Que ce soit avec un casque ou non. Et qu’on y ajoute un peu de réalité augmentée ou pas.

réalité virtuelle dans l’immobilier

À quoi sert la réalité virtuelle pour l’immobilier ?

La technologie de réalité virtuelle pour une agence immobilière, un réseau ou une entreprise de promotion offre plusieurs possibilités. Voici les principales.

Visiter des propriétés sans bouger de l’agence

C’est la première et la plus évidente des possibilités offertes par l’utilisation de la réalité virtuelle dans l’immobilier : une visite dématérialisée permet aux acheteurs d’explorer un bien immobilier sans avoir à aller sur place.

C’est la fin des rendez-vous devant la maison ou l’immeuble désiré. C’est surtout un excellent moyen de faire un premier tri parmi les candidats à l’achat : cette visite virtuelle peut faire comprendre à un acquéreur que le bien envisagé ne correspond pas du tout à ses besoins, et ainsi faire économiser un temps précieux à tout le monde, acheteurs, professionnels et vendeurs, en organisant moins de visites physiques.

Cette visite virtuelle reproduit à l’identique le bien immobilier voulu, qu’il s’agisse d’un enregistrement filmé à l’aide d’une caméra 360° ou d’une modélisation complète du logement réalisée grâce à un logiciel dédié. Dans les deux cas de figure, l’acheteur peut se déplacer à sa guise dans le logement et en scruter les moindres détails. La balade digitale peut se faire depuis les locaux de l’agence ou directement depuis le domicile de l’acheteur.

Selon une enquête Coldwell Banker Smart Home menée aux USA en 2018, 77 % des personnes interrogées aimeraient profiter d’une visite virtuelle avant d’explorer physiquement un bien immobilier.

Faire la promotion de logements en construction

Visiter un logement existant grâce à la réalité virtuelle appliquée à l’immobilier, c’est bien. Mais c’est avant tout une technologie de confort : cela évite de se déplacer et de perdre du temps, aide à se projeter dans le logement, et favorise la prise de décision.

Or, adaptée au domaine de la promotion immobilière, la visite virtuelle change complètement de statut : d’outil de confort, elle devient outil pratique et indispensable. Car l’acheteur d’un bien qui n’est pas encore construit ne peut se fier qu’aux plans présentés par le promoteur et à l’engagement de celui-ci de fournir un logement conforme. La découverte du chantier ne suffit pas à convaincre, et les visites de logements témoins supposent d’avoir des biens existants et disponibles pour des démonstrations.

La modélisation du bien en 3D, dans le cadre d’une visite virtuelle, est donc la meilleure réponse à apporter aux acheteurs désireux de visualiser le logement qu’ils s’apprêtent à acheter avant même qu’il soit bâti. Ce qui fait de la réalité virtuelle dans l’immobilier un précieux outil de promotion immobilière.

Optimiser et simplifier les procédures immobilières

Dans un précédent article, nous avions imaginé une transaction menée de A à Z par un professionnel par le biais des outils digitaux. Cet exercice nous avait permis de pointer du doigt toute l’absurdité d’une vente dénuée du facteur humain, mais aussi de montrer comment ces outils, utilisés avec raison, peuvent contribuer à améliorer l’expérience des clients acheteurs et vendeurs, et, dans une certaine mesure, à accélérer le processus de transaction.

La réalité virtuelle pour l’immobilier entre dans la même catégorie, celle des outils pratiques et efficaces dès lors qu’ils sont utilisés à bon escient. Si elle ne remplace pas complètement une visite physique, elle permet de gagner du temps à tous les niveaux :

  • Pas besoin d’organiser des rendez-vous nombreux pour montrer plusieurs biens immobiliers à un même acheteur : un seul rendez-vous en agence suffit.
  • Moins de déplacements et donc moins de dépenses.
  • Les candidats à l’achat peuvent explorer virtuellement un logement aussi longtemps qu’ils le souhaitent, sans la pression du visiteur suivant qui ne va pas tarder à arriver, sans subir les regards impatients du vendeur qui voudrait bien passer à autre chose – ou de l’agent immobilier qui doit traverser la ville pour honorer un autre rendez-vous.

Ce n’est pas tout, car il faut aussi prendre en compte les difficultés qui accompagnent toute visite d’un bien.

Pour un vendeur, il n’est pas toujours simple de se préparer à recevoir des acheteurs potentiels : son logement doit être en bon état, propre, bien rangé. Il doit s’arranger pour que les enfants ne soient pas là, et pour faire garder ses animaux domestiques. Il doit faire attention au moindre détail. Etc.

Du côté des acheteurs, il y a des problématiques d’accès aux biens. Si les professionnels recommandent de multiplier les visites – de biens différents, certes, mais aussi du même logement à des moments distincts de la journée –, c’est souvent plus facile à dire qu’à faire.

L’injection de la réalité virtuelle dans l’immobilier permet de contourner ces difficultés en proposant la possibilité de visiter un bien qui reste immuable tout au long de l’année, qui ne nécessite pas une organisation délirante en amont, et qui ne souffre pas des variations de climat ou de lumière. Ce que fait le vendeur pour préparer sa propriété, il le fait une fois pour toutes à l’occasion de l’enregistrement de la vidéo ou de la modélisation du logement, et n’a plus qu’à le répéter uniquement pour les acheteurs vraiment intéressés.

Les procédures relatives aux visites sont donc améliorées et simplifiées. En outre, la réalité virtuelle dans l’immobilier permet aux professionnels de mieux prendre en compte les besoins des acheteurs : moins pressés, ceux-ci se sentent plus libres de poser toutes les questions qui leur passent par la tête, et de se renseigner sur les détails du bien qu’ils sont en train de visiter. Ces réponses accélèrent la prise de décision.

Proposer des biens immobiliers à une plus large palette d’acquéreurs

La visite virtuelle améliore grandement les chances de vendre un bien, ne serait-ce que pour une raison simple : dès lors qu’il est possible de faire visiter une propriété virtuellement, ces obstacles que sont la distance, les plannings de chacun des acteurs de la transaction, et le temps limité, disparaissent comme par enchantement.

Conséquence : la réalité virtuelle dans l’immobilier permet de proposer des biens immobiliers à une palette d’acheteurs bien plus large. Si vous prenez en charge la vente d’un appartement situé à Paris, vous pouvez librement vous adresser aux acquéreurs franciliens, mais aussi à tous les candidats de France : il leur suffira d’installer un logiciel sur leur ordinateur et de se connecter à la visite virtuelle que vous proposez, ou de se rendre dans une agence/auprès d’un mandataire de votre réseau pour en bénéficier.

On peut même voir plus loin, et imaginer la promotion d’un bien immobilier n’importe où dans le monde. Internet a déjà abattu les frontières physiques en permettant à des acheteurs de contacter des agences immobilières où qu’ils soient, même à plusieurs milliers de kilomètres. La visite virtuelle vient enfoncer le clou en offrant la possibilité d’explorer une maison ou un appartement depuis n’importe quel point du globe, à n’importe quel moment, ouvrant la voie à une internationalisation de la vente immobilière.

Voici, en somme, à quoi peut servir la réalité virtuelle dans l’immobilier.

Mais alors, concrètement, comment cette technologie peut-elle servir à optimiser votre acquisition vendeurs et à rentrer plus de mandats ?

Là est toute la question.

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Comment la visite virtuelle peut-elle booster votre acquisition vendeurs ?

Par définition, la technologie de la réalité virtuelle dans l’immobilier s’adresse en priorité aux acheteurs, puisqu’il s’agit de proposer des visites des biens à acheter.

Justement, tout ce qui peut optimiser la visite et satisfaire les acquéreurs peut aussi impacter favorablement la vente, et contribuer à conclure la transaction, voire à l’accélérer. Au final, c’est donc le vendeur qui est content !

Ce qu’il faut comprendre, c’est que les avantages apportés par la réalité virtuelle sont autant d’arguments à faire valoir auprès de vos prospects vendeurs pour les convaincre de vous confier leur projet immobilier.

Quels arguments ?

  • Un gain de temps pour le vendeur en vertu d’une sélection drastique effectuée en amont des visites: il reçoit moins d’acheteurs potentiels chez lui, mais des acheteurs plus qualifiés, susceptibles de lui faire une offre.
  • Une plus grande simplicité dans le déroulement du processus: pas besoin de préparer son logement à chaque fois qu’un acheteur doit se présenter pour une visite.
  • La présentation d’un bien immobilier immuable, toujours identique, qui ne subit pas les variations de lumière ou de quantité de soleil, ni les nuisances venues du dehors – des éléments extérieurs qui peuvent influer sur la décision d’un acheteur.
  • L’accélération de la prise de décision des acheteurs: ceux-ci peuvent visiter le bien à leur guise, prendre tout leur temps, poser les questions qu’ils souhaitent, scruter les moindres détails, etc. Ils sortent plus satisfaits du processus et se décident plus rapidement.
  • La possibilité de présenter le bien immobilier à un plus grand nombre d’acquéreurs : l’utilisation de la réalité virtuelle dans l’immobilier permet de s’adresser potentiellement à l’ensemble de la population des acheteurs, dans la même ville, dans la même région, dans l’ensemble du pays, et pourquoi pas sur toute la planète.

L’utilisation de cette technologie devient un facteur de choix pour sélectionner l’agence immobilière avec laquelle un vendeur souhaite travailler.

Ces arguments vous parlent ?

Néanmoins, tout n’est pas rose dans le domaine de la réalité virtuelle. Il ne faut pas négliger certains points noirs qui pourraient vous empêcher de vous saisir pleinement de cette technologie.

Réalité virtuelle et immobilier : obstacles d’aujourd’hui et de demain

La visite dématérialisée n’est pas la seule incursion de la réalité virtuelle dans l’immobilier, mais c’est certes la plus accessible (de nos jours) et la plus efficace (pour convaincre les prospects vendeurs de vous confier leur projet). Mais tandis que la virtualité s’impose aux professionnels de l’immobilier, les obstacles induits par cette technologie, eux, sont bien réels – et si vous choisissez de vous intéresser de près au potentiel de la réalité virtuelle pour l’immobilier, vous devez en prendre connaissance pour mieux vous y préparer.

Premier obstacle : le coût

Vouloir proposer des visites virtuelles de vos biens en catalogue à vos acheteurs, c’est bien beau, mais ce n’est pas gratuit.

Si la technologie existe bel et bien, il n’est pas donné à tout le monde de s’en saisir. Le casque de réalité virtuelle en immobilier, à lui seul, peut coûter plusieurs centaines d’euros. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, puisque vous n’avez pas forcément besoin d’investir dans cet outil : une simple visite virtuelle depuis un ordinateur ou une tablette permet déjà de s’imprégner d’un bien immobilier, avec les mêmes avantages que la VR, et sans avoir besoin de se mettre un casque sur le crâne.

Là où le bât blesse, c’est qu’il est indispensable de réaliser la visite elle-même avant de la projeter aux acquéreurs. Pour une visite virtuelle « classique », cela en revient à faire un scan en 3D d’une propriété, un processus pris en charge par un fournisseur de service spécialisé dans la réalité virtuelle pour l’immobilier, et facturé environ 500 dollars aux États-Unis pour une habitation de 200 mètres carrés. Pour une vidéo en 3D à diffuser dans un casque VR, la prestation coûte autour de 3 000 dollars dans les mêmes circonstances. Il est également possible d’investir dans une caméra adaptée (capable d’enregistrer des images à 360°), à partir de 600/700 euros et jusqu’à plusieurs milliers d’euros en fonction du modèle.

Autant dire que la réalité virtuelle, pour une agence immobilière indépendante ou un petit promoteur, est difficilement accessible. Elle nécessite des investissements importants qu’il faut pouvoir rentabiliser, avec le risque que cela induit.

Deuxième obstacle : les limites de la réalité virtuelle dans l’immobilier

La réalité virtuelle ouvre la porte de la visite d’appartement ou de maison dématérialisée. Elle est donc toute indiquée pour servir les besoins des professionnels de l’immobilier, et pour répondre aux exigences des acquéreurs.

Certes, mais il ne faut pas oublier que la réalité virtuelle dans l’immobilier reste du domaine de la virtualité. Quand un acheteur visite un logement avec un casque sur la tête, il ne le voit pas « pour de vrai » : l’image projetée est issue d’un scan 3D ou d’un enregistrement effectué en amont. Cette image idéalisée n’est pas forcément en accord avec la réalité du bien immobilier en question.

La limite de la réalité virtuelle dans l’immobilier réside précisément dans la nature virtuelle du procédé. Rares sont les acheteurs qui accepteront de signer après avoir exploré un logement à l’aide d’un ordinateur ou d’un casque VR : il faudra toujours que cette visite « pour de faux » soit suivie d’une visite « pour de vrai ». Ce qui réduit fortement la liberté à laquelle la VR nous faire croire… Et limite son impact sur le travail des professionnels à un « simple » outil de tri (faire une première sélection des acquéreurs potentiels avant d’organiser les visites physiques) et de promotion des services de l’agence (à destination des prospects vendeurs).

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Troisième obstacle : les futures exigences des acquéreurs

À ce jour, la visite virtuelle n’est pas encore entrée dans les mœurs. Le fait de proposer ce service à vos prospects acheteurs et vendeurs contribuera à donner une image innovante de votre business. Le goût de la nouveauté va l’emporter sur l’exigence pendant au moins quelques années. Mais, par la suite, les choses vont doucement changer, et les exigences des acquéreurs augmenter.

De sorte que l’essor de la réalité virtuelle dans l’immobilier va générer des attentes inédites. À nouvelle technologie, nouveaux besoins. Un exemple : le mélange entre visite virtuelle et home staging. Les acheteurs aiment à explorer un logement à distance avant de le voir en vrai, mais ils voudraient aussi pouvoir s’y projeter avec leurs affaires et leurs meubles pour mieux se rendre compte du potentiel des lieux. En somme, ils souhaiteraient pouvoir injecter un brin de home staging dans leur visite virtuelle. Une telle possibilité supposerait de proposer aux acheteurs une sélection de mobilier virtuel à « placer » dans les pièces à leur convenance, voire même de modéliser les meubles personnels des acquéreurs pour les intégrer à la visite virtuelle (ou à la visite physique grâce au procédé de la réalité augmentée).

Autant de possibilités qui ne sont pas mûres à ce jour, mais qui se développeront dans le futur aux côtés d’autres technologies – comme le rendu des sens (odeur, goût, toucher) qui permettra aux acheteurs de se forger une première impression complète d’un bien en catalogue, avant même d’y mettre les pieds, favorisant la prise de décision à distance.

Vous aurez compris que l’utilisation de la réalité virtuelle dans l’immobilier est riche de possibilités. La visite virtuelle permet de donner un coup de pouce à votre acquisition vendeurs et d’augmenter votre taux de mandats exclusifs. Mais vous devez garder à l’esprit que c’est une technologie encore récente, pas du tout mûre, qui va se développer et s’améliorer avec le temps. Patience, donc !

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